-
FERRARI 212 Export :© 2002-2009 Bonhams 1793 Ltd.Jusqu’à l’orée des années 1950, la production de Maranello est restée essentiellement tournée vers la compétition. Avec les 212 Inter et Export, Ferrari ébauche une gamme plus rationnelle et plus variée qui s’épanouit en 1951 et 1952.
Au Salon de Paris 1950, Ferrari annonçait son programme de fabrication pour le millésime suivant. À côté de la 166 Inter et de la 340 America, le catalogue signalait, sans l’exposer, une 212 Export.
Ce modèle reprend le châssis court (2,25 m d’empattement) de la 166 MM, mais il est animé par une nouvelle version du moteur V12 dessiné par l’ingénieur Gioachino Colombo. La cylindrée est passée à 2,5 litres par réalésage. Les premières 212 Export sont achevées au début de l’année 1951, à temps pour débuter dans les grandes classiques italiennes que sont le Tour de Sicile et les Mille Miglia en avril. Dans le même temps, la présentation de la première 212 Inter a lieu au Salon de Turin, en avril 1951.© 2002-2009 Bonhams 1793 Ltd.Prenant la suite des 166 Inter et 195 Inter, la 212 Inter est une voiture de route qui partage son moteur avec la 212 Export, mais qui est établie sur un empattement de 2,60 mètres plus apte à recevoir des carrosseries de tourisme.
Cette différentiation apparemment claire entre 212 Inter et Export doit cependant être pondérée car il existe beaucoup de métissages rendant les identifications parfois aléatoires. Sur le châssis court de la 212 Export, les carrossiers Touring et Vignale sont les plus actifs. Vignale est le plus prolixe, avec au moins seize voitures (dont neuf coupés), suivi de Touring avec une douzaine d’unités.© 2002-2009 Bonhams 1793 Ltd.
Faites connaitre ce blog à vos amis !LE blog de LA voiture ancienne !
votre commentaire -
FACEL VEGA modèle FV :
En cette période de l’après-guerre, Jean Daninos rêve de donner à l’automobile française une marque sportive de prestige. Il explore diverses solutions pour créer une voiture moderne, qui prendrait la relève des vieilles firmes de haut de gamme aujourd’hui dépassées. Il est ainsi à l’origine de plusieurs initiatives tendant à relancer la marque Hispano-Suiza ou à créer une société commune à Facel et Pont-à-Mousson. Ces efforts s’avérant infructueux, Jean Daninos se résout à se lancer seul dans l’aventure.
Le premier prototype de la future Facel Véga date de 1952. Faute de pouvoir disposer d’un moteur français à la hauteur, Jean Daninos s’est tourné vers les Etats-Unis, où il avait noué des relations pendant la guerre. Un accord est conclu avec Chrysler, qui possède des V8 modernes, puissants, robustes et silencieux. Il s’agit de mécaniques à course courte et chambres de combustion hémisphériques.© D.REn octobre 1952, le prototype prend la route pour ses premiers essais, avant d’être envoyé outre-Atlantique, chez Chrysler, pour poursuivre sa mise au point. Tous les tests s’avérant positifs, décision est prise en 1953 de construire la voiture. Reste à lui trouver un nom. Sur proposition de l'écrivain Pierre Daninos, frère du constructeur, la nouvelle marque s’appellera "Véga", l’une des plus brillantes étoiles de la constellation de la Lyre. Après la Comète, c’était bien la moindre des choses…
Dévoilée à la presse le 29 juillet 1954 dans l'usine de Colombes, la Véga est présentée au public lors du salon de Paris au mois d’octobre. Sous son capot vrombit le V8 De Soto Firedome de 4528 cm3, qui, alimenté par un carburateur double corps, délivre 180 ch SAE à 4400 tr/mn. Il est accouplé à une boîte de vitesses mécanique à quatre rapports fabriquée par Pont-à-Mousson — la transmission automatique Chrysler Torqueflite sera également disponible en option.© D.R
Le design très réussi de la Véga présente une ligne surbaissée dotée d’un élégant pavillon, tandis que la face avant très abrupte s’orne d’une calandre encadrée de deux prises d’air. Ce style s’inspire notoirement de la Ford Comète, tout comme du coupé Bentley 4,5 litres réalisé en 1951 par Jean Daninos pour son usage personnel. Construite en une toute petite série, la première Véga (type FV) est aisément reconnaissable à son pavillon court, d’où un habitacle réduit à l’arrière. Elle est proposée au prix de 2 873 000 francs, soit, pour donner une échelle, 6,2 fois celui d’une 4 CV Renault. Dès lors, la voiture, qui se caractérise par une finition hors pair, sera constamment améliorée, sa puissance augmentée et son intérieur toujours plus luxueux.© D.RLa Véga connaît sa première évolution en 1955 avec le type FV 1. Afin d’accroître l’espace dévolu aux passagers arrière et faire de la voiture une vraie quatre places, l’empattement a été allongé de douze centimètres (2,63 mètres). Les proportions du pavillon en sont transformées et les vitres arrière considérablement agrandies. La FV 1 bénéficie par ailleurs d’un nouveau V8 Chrysler de 4770 cm3 développant 203 ch (carburateur quadruple corps). La vitesse atteint maintenant 170 km/h ou 190 km/h selon le rapport de pont (couple de 3,31 ou 2,93).
C’est avec la FV 2 présentée au salon de 1955 que la marque de Jean Daninos devient officiellement Facel Véga. La FV 2 offre deux nouveautés esthétiques majeures dans l’histoire de la firme. Première voiture française de série à être dotée d’un pare-brise panoramique, elle est également la première Facel ornée du célèbre tableau de bord en métal peint imitant à la perfection la ronce de noyer. Cette pièce magnifique est réalisée à la main par Marcel Bigot, le chef peintre de l’usine de Dreux. Baptisé désormais Typhoon, le V8 Chrysler de 4,8 litres est porté à 230 ch. En mars 1956, il est remplacé par un nouveau bloc Chrysler de 5,4 litres développant 250 ch (type FV 2B).FV 1 FV 2© D.RRare cabriolet FV 1 Cabriolet FV 2© D.RQuelques cabriolets FV 1 et FV 2 sont construits malgré les réticences de Jean Daninos à l’égard de ce type de carrosserie, le châssis manquant à ses yeux de rigidité eu égard aux performances de la voiture.
Avec la FV 3, qui apparaît en octobre 1956, le coupé Facel Véga reçoit la dernière évolution de sa proue : la calandre est élargie, les moustaches doublées et les ornements inox des phares cèdent la place à deux projecteurs superposés. Parallèlement, est monté un V8 Chrysler de 4940 cm3 développant 253 ch à 4600 tr/mn.FV 3 FV 3B© D.RPrésentée pendant l’été 1957, la FV 3B reçoit le V8 Chrysler de cinq litres porté à 260 ch. La vitesse de pointe est alors de 190 km/h (ou 210 km/h avec le pont long). L’empattement gagne encore trois centimètres, tandis que la carrosserie est légèrement allongée et élargie. C’est dans la FV 3B de Michel Gallimard que, le 4 janvier 1960, Albert Camus et son éditeur trouveront la mort sur la N6 entre Sens et Paris.
Construite conjointement à la FV 3B, la FV 4 est en principe réservée à l'exportation. Son V8 de 5798 cm3 s’avère nettement plus puissant et, avec 294 ch, il permet à la voiture de franchir le cap des 200 km/h (225 km/h avec le rapport long). Les Facel Véga poursuivent ainsi la course effrénée à la puissance lancée par Chrysler (comme par l’ensemble des constructeurs américains). La prochaine étape de cette évolution sera la HK 500.
Faites connaitre ce blog à vos amis !LE blog de LA voiture ancienne !
votre commentaire -
DE TOMASSO Longchamp :
Avec la Longchamp, qui fait son apparition en 1972, Alejandro De Tomaso vise à concurrencer la Mercedes 450 SLC, comme il a tenté de la faire avec la Deauville par rapport à la Jaguar XJ. Luxueux coupé à l’architecture classique moteur avant, la Longchamp restera la seule De Tomaso de sport ainsi conçue. La voiture présente l’avantage d’être une vraie 2 + 2, ses places arrière n’étant pas réservées, comme c’est souvent le cas sur ce type de modèle, à des contorsionnistes.La Deauville a servi de base à la conception de la Longchamp. Les deux modèles partagent le même châssis ainsi que la mécanique Ford de 5,7 litres. L’empattement a toutefois été réduit à 2,60 mètres. Le design de la Longchamp trouve son origine dans la Marica, un projet réalisé par Ghia en 1969 sur la base de la Lancia Flaminia, dont l’empattement avait été raccourci. Son auteur, l’américain Tom Tjaarda alors chez Ghia, a repris le style de ce prototype resté sans suite et l’a amendé pour faire ressembler la voiture à la Mercedes SLC (à la demande d’Alejandro De Tomaso). L’identité des lignes est claire, comme, hélas, un évident manque de caractère. Etonnant de la part d’une marque, qui a créé deux GT aussi belles et typées que la Mangusta et la Pantera.
Luxueux, l’habitacle de la Longchamp respire l’esprit sportif à la différence de celui de la Deauville. Dépouillé et sobre, il trahit une inspiration allemande. Le tableau de bord abrite un tachymètre optimiste gradué jusqu’à 300 km/h et un compte-tours, dont la zone rouge débute à 5800 tr/mn. La voiture recevra à la fin des années 70 un volant Nardi et un levier de vitesses Ford chromé (pour les voitures équipées de la boîte auto).
La Longchamp est motorisée par le puissant V8 Ford Cleveland de 351 c.i. également monté sur la Pantera. Ce bloc de 5,7 litres, qui développe 270 ch DIN, est accouplé à une transmission automatique Ford Cruise-o-Matic à trois rapports ou, en option, à une boîte manuelle ZF à cinq rapports. Malgré son caractère plébéien, il offre à la voiture des performances (235 km/h) et des accélérations proches de celles de ses concurrentes aux mécaniques nobles, la Mercedes 450 SLC, la Jaguar XJS et la BMW 633 CSI. Au volant de la Longchamp, l’agrément de conduite est grand, qu’elle tire de la souplesse du V8 yankee et qui convient parfaitement à son caractère de quasi quatre places.
A l’image de la Deauville, la Longchamp est une monocoque à quatre roues indépendantes. A l’arrière, elle reçoit la même suspension à quatre ressorts hélicoïdaux et quatre amortisseurs. Le freinage est assuré par quatre disques assistés et ventilés installés in-board comme sur la Jaguar XJ.Loué par le pilote américain Phil Hill, le comportement routier de la Longchamp témoigne de la qualité de constructeur de voitures de sport de la marque. La voiture a été moins appréciée par Stirling Moss, qui lui reproche son caractère sous-vireur et le manque de précision de sa direction.
En 1980, De Tomaso présente au salon de Turin une version évoluée de la Longchamp, la GTS. Accompagnant la version de base, la voiture s’analyse comme la réponse du constructeur de Modène au lancement de la Mercedes SLC cinq litres. En réalité, la seule vraie nouveauté de la GTS consiste en ses roues Campagnolo en magnésium empruntées à la Pantera et chaussées de Pirelli P7. Plus larges, elles ont nécessité le montage d’élargisseurs d’ailes et la modification de la suspension. La GTS est également identifiable à quelques détails cosmétiques : calandre noire, peinture deux tons (sur certains exemplaires) et lettrages GTS d’un goût douteux sur les ailes. Elle reçoit aussi des appuie-tête à l’arrière.
La Longchamp sera produite jusqu’en 1989 à 409 exemplaires, dont 14 cabriolets 2 + 2.
Faites connaitre ce blog àvos amis !LE blog de LA voiture ancienne !
votre commentaire -
Les autres Muscle cars GM :
Sur les traces de la GTO
Le succès de la Pontiac GTO ne tardera pas à faire jurisprudence. Dès 1965, Chevrolet se lance dans la course en montant un gros V8 de 396 ci (6,5 l environ) et 375 chevaux dans la caisse légère de sa Chevelle Malibu "SS" (pour Super Sport). Ce n'est qu'un début. Au fil des ans, la série Chevelle, née comme une modeste série intermédiaire, va elle aussi attirer les jeunes amateurs de sensations fortes en recevant des V8 de plus en plus gros, partagés le plus souvent avec la très sportive Corvette et la Camaro. Jusqu'au monstrueux 454 ci proposé en option à partir de 1970 et développant jusqu'à 450 chevaux... Un sommet qui ne sera plus jamais dépassé par la suite.© D.RMême enjeu, même résultat chez Buick dont la gamme s'enrichit de quelques variantes sportives à partir de 1965 : modèle d'accès de classe intermédiaire, la Skylark se voit proposée dans une variante "Gran Sport" (GS) qui reçoit le V8 401 ci (6,5 l environ) des séries supérieures et dont la puissance atteint 325 chevaux. Au sommet de la gamme, le prestigieux coupé Riviera, de la classe des "personal luxury cars", suit lui aussi le mouvement en s'offrant un package "GS" incluant des jantes sport en alliage, un pont autobloquant et un V8 de 425 ci gavé par 2 carburateurs quadruple corps et alignant 360 chevaux. Son prix élevé et son gabarit important n'en font cependant pas un muscle car représentatif de l'espèce. Il s'agit davantage d'un coupé raffiné (dans l'esprit de la Chrysler 300) offrant des performances élevées et destiné à une clientèle plus mûre.© D.R
© D.RPour sa part, la Skylark GS connaîtra de multiples évolutions en accueillant (comme la Chevelle SS et la Pontiac GTO) des V8 de plus en plus puissant, un 455 ci (7, 4 l environ) étant même offert dans cette gamme à partir de 1970.
Oldsmobile, autre marque de classe moyenne du groupe GM, saura elle aussi profiter de "l'effet GTO". Son package optionnel "4-4-2" (cette désignation signifiant 4 vitesses au plancher, carburateurs à 4 corps et 2 sorties d'échappement) réservé à la série intermédiaire F85 Cutlass est d'ailleurs introduit au catalogue la même année. Il deviendra presqu'aussi emblématique que le label "GTO". Proposée au départ avec un V8 330 ci de 310 chevaux, l' Oldsmobile 4-4-2 deviendra l'un des plus puissants muscle cars du marché en se dotant du V8 de 455 ci de la Buick GS dans une exécution donnée pour 375 chevaux.© D.R
Clonage à la sauce GM...
Dès le milieu des années 60, General Motors prend ainsi une avance décisive sur le marché naissant des muscle cars avec ces 4 "intermédiaires" vitaminées que sont la Chevrolet Chevelle SS, la Pontiac GTO, l' Oldsmobile 4-4-2 et la Buick Skylark GS. 4 séries apparemment différentes mais qui partagent en fait leur plateforme et nombre de pièces mécaniques sous une apparence distincte. Malgré ces similitudes techniques, la clientèle se laissera toutefois prendre au jeu et, au fil des ans, chacun de ces modèles trouvera sa "niche" de marché et ses amateurs fanatisés. La plus représentative de l'espèce n'en reste pas moins la première du lot, à savoir la Pontiac GTO.
La vogue des muscle cars connaîtra son apogée à la fin des années 60 avant de subir la concurrence indirecte des "pony cars". A partir de 1970, les grands groupes engagés dans cette surenchère permanente vont d'ailleurs privilégier ces derniers après avoir soigneusement analysé les statistiques de ventes. Au point de précipiter le déclin programmé de leurs muscle cars qui n'auront plus guère le loisir de se distinguer, la plupart de leurs options mécaniques étant désormais offertes sur les pony cars vendus dans la même gamme à un tarif plus attractif.© D.R
Puissances comparées des muscle cars GM (1966-70)
1966 :
-Chevrolet Chevelle SS 396 ci, 325 à 375 ch.
-Buick Skylark GS, 401 ci, 325 ch.
-Oldsmobile 4-4-2, 400 ci, 350 ch.
-Pontiac GTO, 389 ci, 330 à 360 ch.
1970
-Chevrolet Chevelle SS 402 ci, 375 ch (option maxi).
-Buick GS 455 ci, 360 ch.
-Oldsmobile 4-4-2, 455 ci, 370 ch (option maxi)
-Pontiac GTO, 400 ci, 370 ch (option "The Judge").© D.RLes muscle cars et pony cars sur le marché français (Prix neuf en 1967)
-Ford Mustang coupé GT 390 : 31 800 F
-Chevrolet Camaro RS 5,7 l : 28 880 F
-Pontiac Firebird 400 ci : 36 600 F
-Ford Mustang Shelby GT 350 : 45 500 F
-Plymouth Barracuda fastback 273 ci : 32 900 F
-Buick Skylark GS 6,5 l : 37 500 F
Comparaison :
-Lancia Flaminia coupé 2,8 l : 34 500 F
-Alfa Romeo 2600 Sprint : 32 700 F
-Mercedes 250 SL : 37 000
-Porsche 911 S 2L : 45 500 F
-Jaguar Type E : 44 500 F
Faites connaitre ce blog à vos amis !LE blog de LA voiture ancienne !
votre commentaire -
DB HBR5 :
C’est en 1936 que se noue l’association entre Charles Deutsch, l’ingénieur aérodynamicien, et René Bonnet, le mécanicien installé à Champigny. La première DB (Deutsch et Bonnet) est une machine de course animée par un moteur de Traction Citroën. Au lendemain de la guerre, la marque reprend ses activités avec pour base mécanique le bicylindre Panhard refroidi par air. Les DB prennent part aux grandes compétitions d’endurance, dont les 24 Heures du Mans, où elles glanent des lauriers à l’indice de performance.
Bientôt germe l’idée de construire une petite GT française, qui profiterait de la notoriété acquise sur les circuits par la marque de Champigny. Ainsi naît la HBR5, présentée au salon de Paris de 1954 et qui sera produite jusqu’au terme de l’association Deutsch et Bonnet en 1961.© D.R.La HBR5 bénéficie de l’excellente technologie Panhard. Emprunté à la Dyna Z, son flat-twin de 850 cm3 refroidi par air a été retravaillé par René Bonnet. Ce dernier l’a doté de tubulures d’admission spéciales, d’un arbre à cames plus performant, de ressorts de soupapes renforcés et d’un nouvel échappement. Avec un taux de compression plus élevé que sur la Dyna et un carburateur double corps Zenith, il développe 58 ch contre 42 ch à la berline Panhard. La boîte de vitesses à quatre rapports a la même provenance, mais ici, elle est disposée perpendiculairement au châssis. D’où un maniement insolite dû aux débattements latéraux de la commande.
Traction avant, la HBR5 jouit d’une remarquable tenue de route et d’une grande agilité. Elle doit ces qualités à sa structure à poutre centrale, prolongée par un berceau tubulaire qui porte le moteur, ainsi qu’à sa légèreté (640 kilos) à laquelle contribue sa carrosserie en polyester.© D.R.© D.R.Esthétiquement très réussie, la voiture offre au regard sa superbe ligne de berlinette, au style dépouillé et aux courbes élégantes. En 1956, les phares escamotables seront remplacés par des optiques carénées. La HBR5 sera également épaulée par une version survitaminée, la « Super Rallye », dont le bicylindre de 954 cm3 (par augmentation de l’alésage) donnera 72 ch. Elle remportera de nombreuses victoires de classes dans de multiples épreuves, dont les plus huppées, comme le Tout de France automobile, la Targa Florio, les Mille Milles, le rallye de Monte-Carlo, Liège-Rome-Liège, etc...© D.R.
Faites connaitre ce blog à vos amis!Le blog de LA voiture ancienne !
votre commentaire